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Remerciements

Merci d’abord à Irène pour son soutien et sa confiance envers ce projet étrange et singulier. Merci à Éloïse Plamondon-Pagé pour son aide dans la numérisation des oeuvres, à Olivier Guénette-Rochon pour son travail sur les oeuvres papier, à Capucine Baz-Laberge pour sa transcription des entretiens menés avec Irene et pour l’inventaire de la bibliothèque de celle-ci. Je tiens à remercier Pascale Gagné-Lévesque pour son travail de doctorat sur Irene et Richard Max-Tremblay pour ses superbes photos d’Ogden et des oeuvres de l’artiste. 

Merci à Denis Legendre, du MNBAQ, pour nous avoir généreusement formés en photographie d’oeuvres d’art et nous avoir transmis sa passion. Merci à Anne-Julie Richard pour sa sensibilité, sa compréhension fine de la pratique d’Irene, son engagement. Merci d’avoir fait tien ce projet. Je tiens à remercier Bernard Lamarche et Anne-Marie Saint-Jean Aubre, deux des auteurs de ce livre, d’avoir accepté de jouer le jeu de ce projet improbable.

Merci à Mathilde Bois, qui a fondé avec moi le Laboratoire d’arts contemporains (LAC). Difficile d’énumérer l’ensemble de tes contributions, du financement des projets à l’organisation du chantier de numérisation. Ton énergie, ton enthousiasme et ta rigueur ont donné son impulsion à ce projet et le portent encore. Merci à Julien Lebargy, coordonnateur actuel du laboratoire. Merci pour tes idées, ta complicité, ton amitié. Il ne faut pas perdre l’habitude de nos allers-retours à Ogden. 

Un tel projet aurait été impossible sans le soutien de l’Université Laval et de la Faculté des lettres et des sciences humaines au développement du LAC. Rien n’aurait été possible sans vous. Je tiens aussi à souligner l’aide du CRSH, dont l’appui financier à la recherche a permis la publication du livre et du site Web.

Merci au Conseil des arts et des lettres du Québec pour leur soutien à la publication.

Ce territoire numérique que vous parcourez se prolonge dans un livre portant sur la pratique d’Irene : Présages, énigmes, constellations, Irene F. Whittome à Ogden. Édité aux Presses de l’université Laval, cet ouvrage est disponible en libraires.

Enfin, merci à House 9 et à Criterium pour leur investissement dans le design de ce projet. Merci d’avoir su donner forme à nos rêves.

Direction éditoriale : Maxime Coulombe
Coordination à la production : Mathilde Bois, Julien Lebargy
Photographies : Richard Max Tremblay, Maxime Coulombe, Capucine Baz-Laberge, Julien Lebargy 
Numérisation des œuvres : Mathilde Bois, Anne-Julie Richard, Éloïse Plamondon-Pagé, Olivier Guénette-Rochon
Post-production des images : Éloïse Plamondon-Pagé, Capucine Baz-Laberge
Textes : Maxime Coulombe, Bernard Lamarche, Julien Lebargy, Anne-Julie Richard, Anne-Marie Saint-Jean Aubre, 
Design graphique : House 9
Révision linguistique et correction : Valérie Savard
Œuvres : Irene F. Whittome

Biographie des auteurs

Maxime Coulombe est professeur d’arts actuels et directeur du Laboratoire d’arts contemporains à l’Université Laval. Ses recherches portent sur la relation entre l’image et la société actuelle. On lui doit entre autres Désirs du noir : sur le gothique (2024) et Le plaisir des images (2019), parus aux Presses universitaires de France.

Historien de l’art spécialisé en art contemporain, Bernard Lamarche est depuis 2012 conservateur de l’art actuel au Musée national des beaux-arts du Québec ; depuis peu, il y est également conservateur de l’art contemporain. Il a été conservateur de l’art contemporain au Musée régional de Rimouski (2005-2011) et critique d’art et journaliste culturel au quotidien Le Devoir (1996-2005).

Julien Lebargy travaille comme coordonnateur au Laboratoire d’arts contemporains de l’Université Laval, où il étudie aussi au doctorat en art et sciences sociales. Ses œuvres se retrouvent en galeries, en centres d’artistes et dans certains lieux publics. Il est également chargé de cours en sculpture à la Maison des métiers d’art de Québec.

Titulaire d’une maîtrise en histoire de l’art de l’Université du Québec à Montréal, Anne-Julie Richard est candidate au doctorat dans la même discipline à l’Université Laval. Ses recherches doctorales explorent, dans une perspective éthique, les rapports entre l’art et la vie chez Irene F. Whittome.

Anne-Marie St-Jean Aubre est titulaire de la Chaire Gail et Stephen A. Jarislowsky l’art québécois et canadien contemporain (de 1945 à aujourd’hui) et conservatrice de l’art québécois et canadien contemporain au Musée des beaux-arts de Montréal. Elle a organisé de nombreuses expositions individuelles et collectives mettant en valeur des artistes femmes, des artistes autochtones et des artistes issus de diverses communautés culturelles.

Le LAC

Fondé en 2021, le Laboratoire d’arts contemporains (LAC) a pour mission de documenter et de diffuser la pratique des artistes vivants et de former une relève en histoire de l’art polyvalente, sensible aux enjeux contemporains de la recherche en histoire de l’art, mais également apte à répondre aux besoins du milieu culturel. Né de la collaboration entre les programmes d’histoire de l’art et le Musée national Beaux-Arts du Québec (MNBAQ), le LAC regroupe des étudiants chercheurs et des chercheurs avancés de différents champs disciplinaires (histoire de l’art, muséologie, arts visuels, etc.) autour de projets de documentation d’oeuvres d’art, de médiation culturelle, d’expositions et de publications.

Le premier axe de spécialisation du laboratoire consiste en la production de sources premières en histoire de l’art actuel. Grâce aux soutiens des organismes subventionnaires, du Laboratoire en Muséologie et Ingénierie de la culture (LAMIC), de la Faculté des lettres et des sciences humaines et du MNBAQ, le LAC a mis sur pied un studio de documentation photographique d’oeuvres d’art et de numérisation d’archives d’artistes et de centres culturels. L’équipe étudiante du laboratoire, formée par le MNBAQ en photographie documentaire d’oeuvres et en manipulation, est responsable de la photographie d’oeuvres d’artistes majeurs de l’histoire de l’art canadien, du traitement des images et du travail d’inventaire et de catalogage sur des bases de données. Les infrastructures du laboratoire, uniques dans le réseau universitaire québécois, sont mises à la disposition des étudiants gradués pour leur propre recherche.

Le deuxième axe consiste en la production d’outils de médiations culturelles (entrevues vidéos, expositions virtuelles, bases de données numériques, etc.) pouvant servir d’outils de recherche pour les chercheurs en histoire de l’art, ou de lieu d’initiation à la pratique d’artistes québécois contemporains pour le grand public. Adoptant la muséologie de recherche comme approche, le LAC vise à faciliter la mise sur pied de collaborations autour de projets d’expositions et de publications avec les professeurs-chercheurs en muséologie de l’Université, les institutions muséales, les centres d’artistes et les membres de la communauté artistique. Ces différents projets, par la participation d’équipes d’étudiante, contribuent à former une relève en histoire de l’art polyvalente, sensible aux enjeux contemporains de la recherche en histoire de l’art, mais également apte à répondre aux besoins du milieu culturel.Les projets du LAC sont naturellement articulés aux axes de recherche du directeur, Maxime Coulombe, et de ses étudiants gradués. Différentes journées d’étude et colloques sont organisées au LAC pour présenter les contributions des chercheurs membres à la compréhension des mutations des pratiques en arts actuels et de leurs échos avec la société contemporaine.

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